vendredi 3 juillet 2020

Etudier les alternatives

Avoir pour idée d'étudier le phénomène des alternatives, nous met face à un sujet à première vue immense, en effet, il y a juste à penser pour s'en convaincre aux alternatives sociales, culturelles, techniques, scientifiques et bien évidemment politiques.

Ces alternatives demandent de revenir aux fondements de l'anthropologie avec des concepts comme l'ordre et le désordre, le lien, l'échange, la production des richesses, le relationnel, la souillure ou le propre, et la norme, celle que l'on transgresse, celle qui empêche ou permet d'aller de l'avant, et se demander comment elle tombe ou au contraire nait. 

La connaissance des sciences juridiques peut être alors un atout indéniable pour aborder un sujet multifactoriel.

Avec les changements cruciaux pour notre planète que les hommes doivent prendre, mais aussi avec cette profusion de messages et d'idées, sans être forcément nouvelles, qui cherchent à changer l'ordre de nos sociétés.

Je n'oublie pas non plus le monde de la production qui a défaut de trouver une alternative pour créer de la richesse sans épuiser cette Terre, se trouve déjà confronté à la question fondamentale de l'écoulement des stocks et de la diminution accélérée des énergies fossiles.  

Il va falloir comme le fait l'anthropologue étudier ces relations entre ces courants, ces personnes aussi, ces implications sociales. 

Pourquoi finalement est-ce si difficile de créer une alternative ? Et qui la crée? Pourquoi un moment, elle prend forme et peut déjouer tous les pronostiques, prend tous les médias à revers.

Il y a aussi ces alternatives qui ne font que changer de couleur comme pour se remettre en scène, passant souvent du rouge au vert. 

Je me lance donc un drôle de défi, celui d'aborder un sujet qui a certes traversé toute ma réflexion, mais qui va forcément prendre une autre dimension en le posant directement.


 

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