Préciser
son objet d’étude, surtout lorsque l’on fait de l’anthropologie,
revient à montrer nos centres d’intérêt et permettre ainsi au
public d’interagir avec nos études et prises de position.
Il
est exact que cette matière (l’anthropologie) est constituée de
multiples sujets tous passionnants et très diversifiés qui
demandent un vrai travail pour assimiler les connaissances et
pouvoir en suite les transmettre.
De fait, nous ne pouvons pas traiter tous les sujets, d’où la nécessité de se spécialiser.
De fait, nous ne pouvons pas traiter tous les sujets, d’où la nécessité de se spécialiser.
Durant
ma formation, en effet, j’ai dans un premier temps abordé l’étude
de l’organisation sociale en période de mutation.
Pour illustration, je m’étais intéressé aux populations autochtones des régions du Grand Nord qui avaient connues l’arrivée du capitalisme marchant, et comment en quelques années celui-ci avait profondément réorganisé leur quotidien.
L’étude alors des jeux d’argent avait été pour moi une bonne entrée pour finalement aborder cette mutation économique.
Pour illustration, je m’étais intéressé aux populations autochtones des régions du Grand Nord qui avaient connues l’arrivée du capitalisme marchant, et comment en quelques années celui-ci avait profondément réorganisé leur quotidien.
L’étude alors des jeux d’argent avait été pour moi une bonne entrée pour finalement aborder cette mutation économique.
Très
vite, j’ai compris qu’il devenait compliqué de comprendre une
organisation sociale si nous ne comprenions pas comment la richesse
était produite et distribuée.
Je me suis donc concentré sous différents biais (revenu d’insertion, politiques publiques, fiscalité, décentralisation, production marchande, marché financier…) à comprendre ce phénomène et en voir les impasses comme les possibilités d’actions pour l’avenir.
Je me suis donc concentré sous différents biais (revenu d’insertion, politiques publiques, fiscalité, décentralisation, production marchande, marché financier…) à comprendre ce phénomène et en voir les impasses comme les possibilités d’actions pour l’avenir.
J’ai
cru un moment, et j’en fais mon mea culpa, que l’écologie
pouvait devenir un sujet central dans ma réflexion pour agir, mais
je m’aperçois bien aujourd’hui que si nous voulons réussir à
mettre en place une gestion pérenne de nos sociétés, c’est-à-dire
en équilibre avec les capacités de la Terre, il faut en premier
résoudre la question du partage des ressources produites et lutter
contre la pauvreté, à l’origine de bien des maux de notre monde
moderne.
Or, les réponses se situent dans l’étude de la production des richesses, et notamment du moyen d’échange et d’acquisition de ses richesses.
Or, les réponses se situent dans l’étude de la production des richesses, et notamment du moyen d’échange et d’acquisition de ses richesses.
Je
m’attache donc à me spécialiser sur ces questions tant
économique, juridique et financière que politique et sociale.
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